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Recherche par lecteur : Etienne Maignen

27 résultats. Page 2 sur 2.

Durée:11h. 22min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:23770
Résumé: Bernard Blanchet s'interroge sur l'influence que les planètes peuvent avoir sur nous
Durée:12h. 7min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:24695
Résumé: ?Comment fonctionne la mystérieuse jouissance des femmes ? Que ressentent-elles ? Comment découvrent-elles le plaisir ? Comment apprennent-elles à l'épanouir ? Qu'ont apporté les recherches scientifiques ? Le septième ciel est ouvert à tous, encore faut-il trouver le chemin qui y conduit. À cet égard, les femmes ont un accès moins immédiat que les hommes, bien qu'elles aient de plus vastes potentialités. Pour s'orienter dans cette aventure, il y a des repères à connaître. Aujourd'hui, grâce aux études qui commencent à se multiplier et à une enquête inédite dans ce livre, on en sait enfin un peu plus sur l'orgasme féminin. Sur le point G. Sur l'orgasme multiple. Sur le cerveau en extase. Sur l'incroyable anatomie du clitoris. Comme l'Univers, le plaisir féminin est en expansion. Élisa Brune est romancière et journaliste scientifique. Elle écrit sur l'astronomie, les volcans ou l'hypnose, comme sur la sexualité féminine. Plusieurs de ses romans traitent de séduction et de sexualité (La Tentation d'Édouard, Un homme est une rose, Alors heureuse... croient-ils !). Yves Ferroul est médecin sexologue, agrégé de lettres, docteur ès lettres. Il a enseigné comme chargé de cours d'histoire de la médecine et de cours de sexologie, à la faculté de médecine Lille-II. Il a été vice-président du Syndicat national des médecins sexologues, membre du conseil d'administration de l'Association inter-hospitalo-universitaire de sexologie.
Durée:14h. 37min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:23753
Résumé: Le Cours de linguistique générale de Ferdinand de Saussure : texte fondateur, texte mythique, dont se revendiqueront Lévi-Strauss, Lacan, Barthes et tout le mouvement connu - et méconnu - sous le nom de structuralisme. Texte mystérieux, pourtant, rédigé par des disciples après la mort du maître à partir de notes de cours, plein d’obscurités et de contradictions apparentes. Montrant que cette énigme de Saussure n’est autre que celle des signes eux-mêmes, réalités bizarres, presque fantomatiques, qui vivent d’une vie propre et se transforment à mesure qu’on les utilise, ce livre reconstitue dans toute son ampleur et dans toute son actualité la pensée fragmentée du maître du structuralisme. On comprend alors comment une obscure découverte linguistique faite dans le silence de Genève à la fin du XIXe siècle a ouvert aux grandes œuvres de la philosophie française des années 50 et 70, de Lévi-Strauss à Deleuze en passant par Foucault et Derrida. Loin d’être une œuvre d’érudition, ce livre plaide en faveur d’une réouverture des grandes questions du structuralisme. Alors que la vie intellectuelle d’aujourd’hui se complaît dans un rapport ambivalent à cet héritage, hésitant entre fascination désuète et incompréhension agressive, il invite au travail. Au passage, il nous apprend que parler, c’est toujours parler une langue en train de se transformer. Par les signes, nos pensées nous échappent et se mettent à vivre d’une vie propre - nous entraînant dans une histoire dont nul n’est jamais maître.
Durée:5h. 53min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:22880
Résumé: Qui est dépendant ? Tout le monde, répond l'auteur, après un étonnant inventaire : l'amoureux et le joueur, le malade, le fumeur, le buveur et l'automobiliste, le croyant et le militant, nous sommes tous, chacun à sa manière, dépendants. De qui ou de quoi peut-on être dépendant ? À peu près de n'importe qui ou de n'importe quoi : on peut s'attacher aussi bien à une femme, à un homme ou à un chien, à une collection de papillons, à son travail, à la montagne, à un parti ou à Dieu. Il n'y a là aucun goût du paradoxe. Interrogeant sa propre expérience comme les expériences d'autrui, Albert Memmi montre que la dépendance est une fascinante évidence. Elle éclaire d'une manière inattendue la décolonisation, les relations actuelles entre les sexes et les œuvres de culture.
Durée:11h. 21min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:23797
Résumé: La défaite de mai-juin 1940, reste, aujourd'hui encore, une plaie mal cicatrisée dans la conscience nationale : elle évoque la débâcle, l'exode, l'armistice. Au malheur se rajoute la honte, car une opinion très répandue veut que l'armée française ait subi cette déroute sans combattre. De fait, le sujet est tabou, comme s'il s'agissait d'un secret de famille honteux. Et pourtant ... Sait-on qu'en quarante-cinq jours de combats, les pertes quotidiennes allemandes furent supérieures à celles de la campagne de Russie du 22 juin au 10 décembre 1941 ? Que la première bataille de chars de la Seconde Guerre mondiale, à Hannut, fut une victoire française ? Que le village de Stonne, surnommé par les Allemands le « Verdun de 1940 », changea de mains dix-sept fois en trois jours? Qu'à Landrecies, deux chars lourds français détruisirent une centaine de blindés allemands en quelques heures ? Que le général de Gaulle, commandant la 4e division cuirassée, enfonça à Abbeville les positions allemandes, mais ne put exploiter son succès faute de réserves suffisantes? Que l'opiniâtre résistance des troupes françaises à Lille et Dunkerque permit de sauver de la capture 340 000 soldats alliés, et donc de sanctuariser l'Angleterre ? Que sur la Loire, les cadets de Saumur bloquèrent 40 000 soldats ennemis ? Qu'au moment de l'armistice, 45 des 53 ouvrages de la ligne Maginot restaient invaincus ? Et surtout, que près de 100 000 soldats français moururent au champ d'honneur en quarante-cinq jours de combat ??
Durée:10h. 54min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:24805
Résumé: Août 1972, un coup d'État est tenté contre le roi du Maroc Hassan II. Son ministre le plus fidèle, le Général Oufkir, est alors impliqué dans l'attentat et trouve la mort dans de mystérieuses circonstances. Commence alors pour sa femme et ses cinq enfants un calvaire qui durera près de quinze ans. Assignés à résidence, emprisonnés, séparés les uns des autres et isolés de tout contact avec le monde, ils parviennent malgré tout à survivre et à s'échapper. L'aînée des enfants du Général, Malika Oufkir, adoptée à l'âge de cinq ans par le roi Mohammed V - père de Hassan II - aura connu la cage dorée des honneurs et des fastes de la vie royale, privée de sa vraie famille. Mais elle aura aussi connu le cachot, l'isolement, la faim, la survie et l'humiliation des exclus, entourée des siens, en châtiment d'un crime qui n'est pas le sien. Grâce à l'aide et l'amitié de Michèle Fitoussi, écrivain et journaliste, Malika Oufkir nous ouvre sa mémoire, ses souvenirs d'enfant chérie de la cour ou de "bannie", n'omettant rien des souffrances de sa famille. Le combat, le courage, la fierté, apparaissent à chaque ligne de ce témoignage poignant d'une femme au destin hors du commun, qui a reçu en 1999 le prix des Maisons de la presse.
Durée:10h. 3min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:22758
Résumé: Voilà un livre qui ne se contente pas des constats habituels sur la crise du syndicalisme. L'auteur, chercheur à l'Institut de recherches économiques et sociales (Ires), fait une analyse plutôt critique de la situation française. Selon lui, les syndicats ont conclu un véritable "pacte faustien" avec l'Etat au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Ils ont accepté l'instauration de critères de représentativité qui autorisent des syndicats minoritaires à signer des accords. Ils ont également admis le principe de la représentation proportionnelle, qui les place "dans un état de concurrence permanente" et favorise la "guerre de tous contre tous". Chaque syndicat est en effet incité à se démarquer idéologiquement et tactiquement des autres organisations de salariés et à dénoncer leur action, plutôt qu'à travailler avec elles. Ces règles ont permis aux centrales syndicales reconnues comme représentatives d'être assurées de leur survie, en dépit de la baisse de leur nombre d'adhérents. Mais cela les a également menées à abandonner leur fonction de représentation des salariés et à laisser l'Etat mener la danse à leur place. Résultat: même si elle est également liée à d'autres facteurs économiques et sociaux, la crise du syndicalisme a été "plus précoce et plus radicale" en France que partout ailleurs en Europe.